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Cette semaine, Alix Desaubliaux présente des textes (Uexkull, Haraway, Souriau, Bec & Flusser, Le Guin, Triclot…) qui orientent ses recherches actuelles ainsi que des extraits de ses projets en lien avec son DSRA mené à l'ENSBA Lyon.

Les séances de séminaire de l’Unité de recherche numérique ont lieu dans le petit amphi de l’ENSBA ou au labo NRV. Elles sont ouvertes à toustes les étudiant·e·s de l’ENSBA Lyon. Ces séances sont l’occasion de présenter et de discuter des travaux en cours des chercheur·euse·s de l’UR numérique.

À propos d'Alix Desaubliaux

Jusqu'en 2021, Alix Desaubliaux est artiste-chercheuse à l’Ensba Lyon au sein de l’Unité de Recherche Numérique. Elle y mène un projet de recherche sur l’ontologie de créatures fantasmées ou numériques, existences parfois fugaces qui peuplent aussi bien les jeux vidéos que les limbes de licences cinématographiques telles que Godzilla. Les émotions qui nous lient à ces entités sont au cœur de cette recherche et permettent d’emmener ces existences virtuelles, ou plus largement fictionnelles, à la rencontre du règne animal et biologique, en utilisant la figure du monstre comme un outil.

À la suite de son DSRA, elle vit et travaille à Rennes au sein de l’atelier Vivarium, depuis Janvier 2021. Elle rejoint le comité de rédaction de la revue IMMERSION la même année.

Elle mène en parallèle de sa pratique artistique un travail de recherche en collectif avec “3G” (avec Annie Abrahams, Pascale Barret et Alice Lenay) avec qui elle explore plusieurs formats performatifs et expérimentaux via des rencontres en ligne ainsi qu’avec le groupe de recherche WMAN, qui réunit six artistes et commissaires avec les quels ielles travaillent autour du jeu vidéo.

Elle a également une activité pédagogique en école d’art (ENSAD Nancy, ESACM Clermont-Ferrand, ENSBA Lyon, ESAM Caen, ESBAN Nîmes) avec des workshops, interventions, conférences ou séminaires.

Son travail a été présenté au salon Jeune Création en 2015 à la galerie Thaddaeus Ropac, à la Cité internationale des Arts pour la biennale d’arts numériques, au domaine Pommery, à Ars Electronica, à Mécènes du Sud ou encore à Glassbox. Capture d'écran d'une file de travailleurs dans Age of Empire © Alix Desaubliaux/Microsoft Games Studios